Le match retour contre l'ASPOM a tenu toutes ses promesses !
Après le score fleuve du match aller, l'ASPOM comptait bien prendre sa revanche, chez lui, à domicile. D'autant plus, qu'une fois encore, l'effectif du RCB était très juste : 11 joueurs au premier coup de sifflet de l'arbitre.
C'est dans un 4-4-2 classique que le RCB débuta la rencontre....et quel début de match !!
Après le score fleuve du match aller, l'ASPOM comptait bien prendre sa revanche, chez lui, à domicile. D'autant plus, qu'une fois encore, l'effectif du RCB était très juste : 11 joueurs au premier coup de sifflet de l'arbitre.
C'est dans un 4-4-2 classique que le RCB débuta la rencontre....et quel début de match !!
Plus vif, plus agressif sur la balle , le RCB marquait 3 buts dans les 20 premières minutes sur ses 3 premières attaques. Jean Luc, Cyril, puis Anthony crucifiaient tour à tour un gardien abandonné par une défense débordée.
Essayant de faire du beau jeu malgré l'état du terrain, le RCB se fit surprendre en fin de première mi-temps par un raid en solitaire du 9 adverse qui s'aida (apparemment) très légèrement de l'épaule pour destabiliser le Grand Alex, plutôt au chômage technique jusque là...
La rentrée de Mouch à la mi-temps obligea à un remaniement tactique. Le RCB fit bonne figure durant 10 minutes essayant de gérer le score au mieux. Puis petit à petit, il perdit le contrôle du match. Etait-ce lié à la blessure de Jean Luc, auteur d'un bon match jusque là ? Souvent en retard dans les duels, le RCB encaissa 3 buts très similaires, toujours à la limite du hors-jeu.
Loin de provoqué une déroute, ce retournement du score, provoqua un déclic. Le RCB resserra les rangs et lança quelques derniers rushs qui permis une égalisation heureuse, mais méritée, grâce à un tir de Jérôme (le breton) sous la barre, qui médusa le gardien adverse.
Déjà chahuté à la suite des contestations rcbistes pour les 4 buts encaissés, l'arbitre mis fin prématurément à la rencontre.
A noter, l'apéro sympa offert par l'ASPOM et les grillades d'après match (bien que tardives...)
